La surveillance des baux commerciaux vacants, l’envoi de lettres aux propriétaires pour les sensibiliser à notre problématique ne sont pas suffisants pour stopper la progression envahissante des salons de coiffure africaine dans nos rues. Pour obtenir des perspectives favorables, il faut que l’ARQAM mobilise davantage son réseau de propriétaires partageant les mêmes objectifs et trouve les moyens de dissuader les propriétaires récalcitrants.
L’ARQAM cherche à mobiliser également les commerçants légaux de notre quartier autour d’un projet dont l’objectif est de revitaliser le commerce de proximité. Des illuminations de Noël 2021 pourraient constituer un premier projet collectif. Il faudrait avoir accès à des listes de commerçants de proximité prêts à venir s’installer dans les locaux commerciaux rendus vacants. Une association de commerçants pourrait se constituer dans notre quartier.
La page Facebook de Marais Entreprendre a permis de faire connaître les objectifs de l’ARQAM. Mais beaucoup reste à faire.