Nos conseils concernant le contrôle par les copropriétaires des locaux commerciaux dans leur immeuble

Quand un problème de nuisance se pose du fait d’un gérant de bail commercial qui pratique son commerce de manière qui dérange les habitants de l’immeuble, s’il n’y a rien qui figure à ce sujet dans le règlement de copropriété, le syndicat des copropriétaires découvre qu’il n’a pas son mot à dire sur la manière dont le copropriétaire de ces locaux commerciaux accorde un bail précaire ou 3/6/9, sur le type de commerce et surtout sur la respectabilité du gérant et les garanties qu’il a apportées.

C’est seulement le propriétaire du local commercial qui peut appliquer la clause résolutoire pour dénoncer le bail accordé et chasser ainsi le gérant importun.

Notre conseil au syndicat de copropriétaires est de prendre en amont une autre précaution qui consiste à introduire une clause dans le règlement de copropriété qui stipule la règle suivante :

« Toute activité commerciale ou artisanale dans les locaux commerciaux de l’immeuble ne peut s’installer qu’après avis du conseil syndical. »

Jusqu’à présent une modification du règlement de copropriété ne pouvait se faire qu’à l’unanimité. Mais depuis le récent décret d’application de la loi ELAN, ceci est possible à la majorité absolue des copropriétaires présents ou représentés et ceci jusqu’au 23 novembre 2021.

Références juridiques

LOI n° 65-557 du 10 juillet 1965 fixant le statut de la copropriété des immeubles bâtis

JORF du 11 juillet 1965 page 5950

LOI n° 2018-1021 du 23 novembre 2018 portant évolution du logement, de l’aménagement et du numérique (1)
JORF n°0272 du 24 novembre 2018
texte n° 1

ELAN

Ordonnance n° 2019-1101 du 30 octobre 2019 portant réforme du droit de la copropriété des immeubles bâtis
JORF n°0254 du 31 octobre 2019
texte n° 3

entre en vigueur le 1er juin 2020

Décret n° 2020-834 du 2 juillet 2020 pris pour l’application de l’ordonnance n° 2019-1101 du 30 octobre 2019 portant réforme du droit de la copropriété des immeubles bâtis et relatif à diverses mesures concernant le fonctionnement de la copropriété

Ce décret d’application de la loi ELAN fait suite à l’ordonnance du 30 octobre 2019 portant réforme du droit de la copropriété des immeubles bâtis prise par le gouvernement, dans le cadre de l’habilitation prévue par la loi ELAN (évolution du logement, de l’aménagement et du numérique) du 23 novembre 2018, modifie les conditions pour la modification du règlement de copropriété en abaissant les seuils de majorité nécessaire pour faire voter une décision en AG et en créant une passerelle vers un second vote

Rappel des trois niveaux de majorité 

Majorité qualifiée (double majorité) ou majorité de l’article 26 :

La majorité qualifiée, appelée encore « double majorité » ou « majorité de l’article 26 », est moins difficile, en théorie, à atteindre que l’unanimité, mais en pratique, elle est souvent impossible à réunir. Elle exige en effet la majorité des membres du syndicat, et les deux tiers des voix.

L’ordonnance du 30 octobre 2019 portant réforme du droit de la copropriété des immeubles bâtis, prise par le gouvernement, dans le cadre de l’habilitation prévue par la loi ELAN (évolution du logement, de l’aménagement et du numérique) du 23 novembre 2018, rend possible une nouvelle règle de vote, à une majorité plus basse.

Elle prévoit en effet (article 29) que « nonobstant toute disposition contraire, lorsque l’assemblée générale n’a pas décidé à la majorité prévue au premier alinéa de l’article 26, mais que le projet a au moins recueilli l’approbation de la moitié des membres du syndicat des copropriétaires présents, représentés ou ayant voté par correspondance, représentant au moins le tiers des voix de tous les copropriétaires, la même assemblée se prononce à la majorité des voix de tous les copropriétaires en procédant immédiatement à un second vote ».

Majorité absolue de l’article 25 :

La majorité absolue (dite majorité de l’article 25) correspond à la majorité des voix de tous les copropriétaires de l’immeuble (présents, représentés et absents)

Majorité simple de l’article 24 :

Si elles recueillent le tiers des voix des copropriétaires composant le syndicat, un second vote peut être aussitôt organisé, à la majorité simple de l’article 24.

La majorité simple, appelée dans le jargon de la copropriété « majorité de l’article 24 », est constituée seulement de la majorité des voix exprimées des copropriétaires présents ou représentés lors de l’assemblée générale.

Les règles de vote du projet de modification du règlement de copropriété en assemblée générale

La modification du règlement de copropriété est soumise à l’approbation des copropriétaires réunis en assemblée générale. Cette modification ne deviendra définitive que si elle n’a pas été déférée en justice dans le délai de 2 mois prévu par l’article 42§2 de la loi de 1965.

Il appartient au syndicat des copropriétaires, ou à l’un des copropriétaires de constituer un dossier pour soumettre son projet à l’assemblée générale après l’avoir notifié au syndic pour qu’il l’inscrive à l’ordre du jour. En pratique, il est conseillé d’envoyer le dossier au syndic trois à quatre mois avant la date de l’assemblée générale.

Pour voter en assemblée générale, chaque copropriétaire dispose d’un nombre de voix égal au nombre de tantièmes de parties communes dont il est propriétaire.

En fonction de la nature du projet de modification, les règles d’adoption diffèrent. On distingue trois règles d’adoption :

1.Les projets adoptés à la majorité simple

L’article 24 f de la loi du 10 juillet 1965, permet l’adaptation du règlement de copropriété aux évolutions législatives et règlementaires.

La modification du règlement existant afin de l’accorder avec les dispositions législatives et règlementaires qui lui sont postérieure est votée à la majorité simple.

2. Les projets adoptés à la majorité double

L’article 26 de la loi du 10 juillet 1965 permet la modification du règlement en ce qui concerne la jouissance, l’usage et l’administration des parties communes.

L’assemblée générale peut à la majorité des membres du syndicat représentant au moins 2/3 des voix, modifier le règlement dans la mesure où il concerne la jouissance, l’usage et l’administration des parties communes.

Cet article permet d’adapter les clauses du règlement aux évolutions des besoins de la copropriété. Sont visées, par exemple, les clauses relatives à la gestion de l’utilisation des parties communes.

Pour les modifications majeures, telles que la modification des droits des copropriétaires sur leurs parties privatives, la destination de l’immeuble ou encore les droits acquis de certains copropriétaires sur les parties communes ou collectives, l’unanimité n’est plus requise lors de l’assemblée générale.

Quelles sont les démarches à effectuer pour demander la modification du règlement de copropriété ?

La modification doit être inscrite à l’ordre du jour de l’assemblée générale

Le règlement de copropriété vit et évolue en même temps que la copropriété : les copropriétaires ont de multiples raisons d’y apporter des changements qui sont parfois nécessaires au regard de l’évolution de la règlementation. Si vous souhaitez, par exemple, l’installation d’équipements collectifs tel qu’un ascenseur, si vous souhaitez racheter une partie commune ou tout simplement demander une nouvelle répartition des charges communes, vous devrez en passer par une modification du règlement de la copropriété.

Quelle que soit la nature de la modification, celle-ci doit être inscrite à l’ordre du jour d’une assemblée générale. Il peut s’agir de l’assemblée générale ordinaire qui se tient chaque année, mais il peut s’agir également d’une assemblée générale extraordinaire, si votre demande a un caractère urgent.

Le syndic doit inscrire la modification du règlement de copropriété, à l’ordre du jour, préalablement à l’envoi des convocations qui ont généralement lieu 21 jours avant la date de l’assemblée générale.

Les modalités du vote diffèrent selon la nature de la modification

Toutes les modifications apportées au règlement de copropriété doivent être votées, mais toutes ne sont pas soumises aux mêmes règles de majorité lors du vote.

En effet, s’il s’agit par exemple de voter la modification du règlement de copropriété pour l’adapter à une nouvelle règlementation, sachez que l’actualisation ne se fera pas de façon automatique. Les copropriétaires sont responsables de cette mise à jour et la modification sera adoptée si elle remporte l’unanimité des voix des copropriétaires présents.

Pour toute autre modification du règlement, on applique généralement la règle de la double majorité. Dans ce cas, il s’agit de réunir la majorité de tous les copropriétaires représentant au moins deux tiers des voix.

Quelle que soit la nature de votre demande, n’oubliez pas de « mener campagne » auprès des autres copropriétaires afin d’essayer de les rallier à votre cause car après tout, le sort de votre demande est entre leurs mains puisqu’ils devront voter pour ou contre votre projet.

Seul le notaire est habilité à modifier le règlement de copropriété

Lorsqu’une modification du règlement de copropriété a été votée par l’assemblée générale, celle-ci n’est pas effective immédiatement. En effet, pour être définitivement modifié, le règlement doit passer par le notaire qui est le seul professionnel habilité à réaliser l’opération de modification, mais également le seul à pouvoir publier le règlement au fichier immobilier du cadastre de la ville. Contactez donc le notaire avant même d’avoir connaissance des résultats du vote, car les actes notariaux sont payants et il pourra vous fournir un devis.

Les honoraires du notaire seront plus ou moins importants selon la nature de la modification, du travail à accomplir et du nombre de personnes impliquées dans l’opération. Si l’on estime une adaptation du règlement à la loi à environ 3 000 à 5 000 €, d’autres types de modification de plus grande envergure peuvent atteindre 10 000 €.

Notre demande de prise d’un arrêté anti-attroupement

Les jeunes migrants et rabatteurs s’amassent devant les salons de coiffure africaine dans nos rues aussi bien que devant les débits de produits de beauté ou les restaurants, Ils sont bruyants, le plus souvent éméchés et salissent les trottoirs quand ce n’est pas les façades des immeubles.

Depuis 2015 que les salons de coiffure africaine se sont ouverts dans notre quartier, nous avons appelé d’innombrables fois le 17, déposé sans cesse des mains courantes, des plaintes pour tapages injurieux, tapages nocturnes, crachats, souillures diverses, ivresse sur la voie publique, toutes sortes de nuisances que nous subissons de manière incessante et qui nous excèdent.

Les « hot spots » où les rabatteurs se rassemblent sont les 353. 355 et 357 rue Saint-Martin, les 1 et 3, 5 et 7 ainsi que le 2, 4 et 6 rue Sainte Apolline, le 1, 3 et le 2, 4 et le 6 rue Blondel.

Cet arrêté interdira tout attroupement portant atteinte à l’ordre, à la sécurité, à la tranquillité ou à la salubrité publique (nuisances sonores, crachats, souillures, dépôt de déchets, etc..) dans la zone délimitée par le boulevard de Sébastopol, les rues Sainte Apolline et Blondel et la partie de la rue Saint-Martin (numéros impairs) entre les deux rues Sainte Apolline et Blondel.

Pour éviter toute annulation de cet arrêté par le tribunal administratif en fonction de la jurisprudence, il s’agit de prendre en compte les horaires des commerces, que ce soit la boulangerie BO & MIE au 359 rue Saint-Martin et la boulangerie des artistes au 352 rue Saint-Martin. De l’autre côté de la rue Saint-Martin (numéros pairs), le restaurant Fuugaya au 330 rue Saint-Martin, les restaurants Mikuna et Poketea factory au 326 rue Saint-Martin et le restaurant Sun Viet au 324 rue Saint-Martin ne seront pas impactés.

Ainsi la tranche horaire pendant laquelle s’appliquera l’arrêté anti-attroupement sera de 20h à 7h du matin.

Les infractions aux dispositions du présent arrêté seront constatées et poursuivies par tout agent de la force publique, que ce soit la police nationale ou la police municipale, habilité à dresser procès-verbal conformément aux lois et règlements en vigueur.

Notre demande de six rondes de police par jour et en soirée dans nos trois rues

Au vu de la multiplication des attroupements de rabatteurs devant les salons de coiffure africaine dans nos rues, nous demandons à la police d’exercer une surveillance sans relâche pour éviter les troubles à l’ordre public, les nuisances sonores, l’accumulation des déchets, etc… La consommation d’alcool est d’ores et déjà interdite sur la voie publique par l’arrêté du 9 octobre 2018. Dans ce contexte, nous demandons la prise d’un arrêté anti-attroupement par le Préfet de police de Paris.

En général il s’agit d’une population jeune, venue récemment d’Afrique, n’ayant pas de permis de travail, devant se contenter de jobs à la sauvette, venant se faire payer par les gérants des salons de coiffure africaine pour avoir rabattu quelques clientes à la bouche de métro la plus proche et dépensant cet argent pour acheter de l’alcool à la boutique Lycamobile au 355 rue Saint-Martin ou bien un plat de nourriture au restaurant africain à côté. Leur statut précaire est renforcé par le fait qu’ils ne sont pas autorisés à demander l’asile, étant originaires de pays sûrs. Et quand ils sont autorisés à le demander et qu’ils ne l’obtiennent pas, ils ne sont pas expulsés car ils peuvent renouveler leur demande.

Il nous paraît indispensable d’avoir une cadence de six rondes par jour et en soirée, qui se composent de deux rondes de la BAC, deux rondes de policiers en vélo, deux rondes d’agents à pied. Notre demande auprès du Commissaire général devra être renouvelée à chaque fois que la cadence se ralentira pour une raison ou pour une autre.

La mise en place d’une police municipale est l’occasion de demander à la Mairie de Paris avec encore plus d’insistance le passage des six rondes quotidiennes dans la journée et surtout en soirée dans nos rues  Sainte-Apolline, Blondel, Meslay et le haut de la rue Saint-Martin.

Bilan de l’action engagée depuis septembre 2017

Mail de Monsieur le Commissaire Vincent GORRE du 2 janvier 2018 aux membres de l’ARQAM

Bonjour à tous,

Tout d’abord, je souhaite vous adresser mes meilleurs vœux pour cette nouvelle année qui commence.

Ensuite, je voudrais vous relater brièvement le bilan de l’action que nous avons engagée sur le secteur Sainte Apolline-Blondel depuis quelques mois.
Depuis le 21 septembre, 4 opérations d’envergure ont été réalisées, conduisant à la mise en cause de gérants de 8 établissements de coiffure et de tresses.
Pour chacun d’entre eux, des poursuites judiciaires et administratives étaient engagées.

Les premiers résultats commencent d’ailleurs à être visibles : l’établissement “7th dimension tresses” gardera ainsi porte close pendant 10 jours.
2 autres arrêtés de fermeture sont encore à l’instruction au Cabinet du Préfet de Police. Je ne doute pas qu’ils seront très rapidement signés et mis en application.

Le 5 décembre dernier, une opération d’envergure était mise en place associant, à l’initiative du commissariat, l’URSSAF, les Impôts, la DDPP et les services spécialisés de Police. 5 établissements étaient contrôlés simultanément, permettant l’interpellation de 7 individus et le constat de 11 infractions. Les enquêtes sont toujours en cours.

Parallèlement, les individus contrôlés sur la voie publique en train de consommer ou de même simplement de détenir de l’alcool étaient systématiquement verbalisés (conformément à l’arrêté préfectoral), ceux consommant des produits stupéfiants, interpellés. Au total, 19 actions de verbalisation ou d’interpellation étaient mises en œuvre.

En 2018 comme en 2017, vous pouvez compter sur notre détermination pour que ce quartier retrouve une physionomie calme et apaisée.

Nous demeurons bien sûr à votre écoute pour nous faire part de votre retour sur l’impact des actions engagées et de l’évolution ressentie “sur le terrain”.

Bien cordialement,

Vincent GORRE

Commissaire Central

Commissariat du 3ème arrondissement

DSPAP – DTSP 75

Préfecture de police

Tél. : 01-42-76-13-01

Nouvel arrêté anti alcool pris le 28 février 2022 couvrant toute la zone entre les boulevards de Sébastopol et Saint Denis et les rues Saint-Martin et Papin

L’arrêté pris le 28 février 2022 par le Préfet de police de Paris porte interdiction de la consommation de boissons alcooliques du 3ème au 5ème groupes de 16h à 7h (article 1) et de la vente à emporter de boissons alcooliques du 3ème au 5ème groupes de 21h à 7h (article 2) sur le domaine public dans les périmètres délimités par les voies suivantes qui y sont incluses sauf dans les parties de ce domaine régulièrement occupées par des restaurants et débits de boissons titulaires des autorisations nécessaires. La délimitation des voies suivantes inclut les côtés pair et impair de celles-ci y compris lorsque ces voies sont limitrophes de plusieurs arrondissements contigus.

Dans notre cas il s’agit des secteurs 9 et 10 (3ème arrondissement) de Paris Centre, à savoir le périmètre délimité par les boulevards de Sébastopol et Saint Denis et la rue Saint Martin y compris l’impasse de la Planchette jusqu’à la rue Papin.

L’arrêté 2022-196_BOVP_CDQ-HBM est disponible en ligne (pages 7 à 33).

 

Instaurer un dialogue avec les propriétaires des locaux commerciaux dans notre quartier et leurs agents immobiliers ainsi que mobiliser les commerçants légaux pour dynamiser le commerce de proximité

La surveillance des baux commerciaux vacants, l’envoi de lettres aux propriétaires pour les sensibiliser à notre problématique ne sont pas suffisants pour stopper la progression envahissante des salons de coiffure africaine dans nos rues. Pour obtenir des perspectives favorables, il faut que l’ARQAM mobilise davantage son réseau de propriétaires partageant les mêmes objectifs et trouve les moyens de dissuader les propriétaires récalcitrants.

L’ARQAM cherche à mobiliser également les commerçants légaux de notre quartier autour d’un projet dont l’objectif est de revitaliser le commerce de proximité. Des illuminations de Noël 2021 pourraient constituer un premier projet collectif. Il faudrait avoir accès à des listes de commerçants de proximité prêts à venir s’installer dans les locaux commerciaux rendus vacants. Une association de commerçants pourrait se constituer dans notre quartier.

La page Facebook de Marais Entreprendre  a permis de faire connaître les objectifs de l’ARQAM. Mais beaucoup reste à faire.

Projet participatif: “Pour que revive la rue Saint-Martin”

L’ARQAM a accompagné l’évolution du projet participatif : “Pour que revive la rue Saint-Martin”

qui a été approuvé en octobre 2017 suite aux 716 votes recueillis.

716 votes

Dans la continuité du projet réalisé au nord, dans le 10e arrondissement sur la rue du faubourg Saint-Martin dans le cadre de l’édition 2015 du budget participatif, et au sud devant l’église Notre-Dame-des-Champs, le projet consiste à réaménager la rue Saint-Martin sur son tronçon entre le boulevard Saint-Denis et la rue du Vertbois.

L’espace ainsi réorganisé augmentera la place dédiée aux piétons et aux cyclistes et permettra également l’installation de jardinières ou la plantation d’arbres. La circulation dans la rue pourra être modérée grâce à une mise en zone 30.

Budget : 780 000 Euros

Tout reste à faire pour faire renaître le quartier en y impulsant des activités citoyennes. Le défi réside dans un changement de perspective chez les riverains sur leur propre quartier, ce qui pourrait les inciter à s’y investir ne serait-ce qu’en se réappropriant l’espace public.

Ce que nous voulons : des commerces légaux, multi-activités et multiculturels

Il y a des commerces qui prospèrent dans la rue Sainte Apolline et ceci nous ravit.

L’onglerie  Axiang onglerie Asia au 6 et au 23 rue Sainte Apolline

La boutique de retouche au 2 rue Sainte Apolline

La boutique de restauration rapide SANDO by Moji Moji au 2 rue Sainte Apolline

Le Wild Pole Studio au 2 rue Sainte Apolline

La compagnie des lots au 359 rue St Martin et 2 rue Sainte Apolline a étét remplacée par la boulangerie BO & MIE  et nous ne perdons pas au change !

La crèche Les malicieux de Sainte Apolline au 7/9 rue Sainte Apolline

La maison Malapert de design intérieur au 9 rue Sainte Apolline

La rue Blondel mérite d’être réhabilitée

Nous sommes ravis de l’ouverture en octobre 2023 du snack Rice and Burger Kitchen au 1 rue Blondel

Nous sommes ravis de l’ouverture au printemps 2023 du magasin d’optique de détails Prestige vision et audition au 3 rue Blondel

Nous sommes ravis de l’ouverture fin 2015 du cabinet d’experts comptables Sanchez Richard au 4 rue Blondel

Nous sommes ravis de l’installation depuis l’été 2017 de l’Antichambre escape games
au 8 et 10 rue Blondel

Nous aimons le bar Kafeibaie qui s’est installé au 5 rue Blondel en début d’année 2021

Nous aimons le bar Deux point zéro  qui s’est installé au 7 rue Blondel

ainsi que le restaurant rapide Sorrento au 9 rue Blondel et 110 boulevard de Sébastopol

La rue Saint-Martin est en pleine renaissance

Côté numéros impairs:

Nous aimons la boulangerie des artistes au 351 rue Saint-Martin

Nous sommes ravis que Greenstyle se soit installé au printemps 2022 au 349 rue Saint-Martin

Nous sommes ravis que la société Myflexoffice se soit installée depuis 2018 au 347 rue Saint-Martin

Nous aimons la boutique Showroom au 345 rue Saint-Martin

Nous aimons le Franprix Paris au 341 et 343 rue Saint-Martin

Nous continuons à apprécier le magasin  Mc Vintage Star au 339 rue Saint-Martin

Nous aimons le café Le Parisien au 337 rue Saint-Martin

Côté numéros pairs:

Nous aimons le restaurant Fuugaya au 330 rue Saint-Martin

Nous sommes ravis que le restaurant péruvien Mikuna se soit installé au 326 rue Saint-Martin

Nous sommes également ravis que  Poketea Factory fonctionne au 326 rue Saint-Martin


Nous aimons le restaurant Sen Viet au 324 rue Saint-Martin

ainsi que le restaurant chinois Mala Mala 324 rue Saint-Martin

sans oublier la boutique MallS aussi au 324 rue Saint-Martin

la galerie Olivier Castaing 322 rue Saint-Martin

l’imprimeur d’étiquettes personnalisées Phenix Labels au 320 rue Saint-Martin

l’agence immobilière SBM au 318 rue Saint-Martin

l’opticien et coiffeur Shades au 316 rue Saint-Martin


le traiteur Boulotte au 314 rue Saint-Martin

Nous accueillons avec plaisir le restaurant tibétain Un jour à Lhasa qui s’installe au 312 rue Saint-Martin

qui soutiennent l’action de notre association.

La rue Meslay est en bonne voie

Nous aimons L’hôtel du Plat d’Etain
au 69 rue Meslay et qui soutient également notre association.

Nous allons oeuvrer pour que continuent à s’installer des commerçants capables de revitaliser nos rues par la clientèle qu’ils vont y attirer.

Des grilles coulissantes ferment le parking de l’impasse de la planchette

L’ARQAM avait écrit au propriétaire du parking privé en août 2016 pour lui faire connaître ses revendications et lui demander instamment d’installer des grilles coulissantes pour empêcher le séjour des consommateurs et vendeurs de drogue dans le parking. Trois populations en effet cohabitaient dans ce parking à ciel ouvert : les consommateurs et vendeurs de drogue (crack, cocaïne, héroïne), les rabatteurs des boutiques africaines, les SDF.

A la réunion du conseil d’arrondissement du 24 octobre 2016, il a été acté qu’il fallait relancer l’architecte des bâtiments de France, Mme Sophie Hyafil, pour qu’elle réexamine son refus d’installation de ces grilles. En février 2017, elle a approuvé le nouveau projet qui lui a été présenté. Ensuite, malgré les relances de M. Kilian Barthélémy, adjoint de M. Caron-Thibault, Premier Adjoint au Maire du 3ème Arrondissement, auprès du gérant, la situation n’a pas progressé du fait d’un goudronnage préalable de la chaussée du parking nécessitant la prise en compte des gaines de réseaux de télécoms passant dessous. Cette opération s’est terminée fin 2017 et en juillet 2018 les travaux ont commencé pour l’installation de ces grilles.

L’ARQAM tient à remercier d’abord le propriétaire du parking qui a pris à sa charge le coût assez élevé des travaux, ensuite M. Caron-Thibault et ses adjoints pour le suivi assidu de ce dossier.

Adhésions 2024

L’association a été créée en octobre 2016 dans le but de réhabiliter notre quartier qui a subi de profondes transformations ces dernières années. Il s’agit avant tout de recréer un environnement chaleureux, convivial et apaisé, à l’image de l’ensemble de notre arrondissement.

L’ARQAM se concentre sur les points suivants :

–       redynamiser, avec l’appui des pouvoirs publics, le tissu commercial et associatif de nos rues dans le prolongement de ce qui a été fait dans le reste de l’arrondissement jusqu’aux rues du Vertbois et Notre-Dame de Nazareth

–        faire cesser les troubles et nuisances de toute nature, causés notamment par le trafic de drogue et la présence de rabatteurs qui occupent l’espace public sans respect pour les habitants et l’environnement (violences physiques et verbales, abandon de détritus, etc…)

Nous travaillons déjà avec les pouvoirs publics qui sont très sensibles au sujet et avec qui nous avons engagé un plan d’actions. Rejoignez-nous pour partager vos témoignages et idées et augmenter ainsi le rayonnement de notre Association.

 ARQAM 

contact@renaissanceartsetmetiers.org

blog : https://renaissanceartsetmetiers.org/

https://www.facebook.com/arqamParis3/

découper suivant le pointillé ou bien

il est possible d’adhérer en ligne en cliquant sur le lien vers HelloAsso plus bas


Adhésion à «l’association pour la renaissance du quartier Arts et Métiers»

Association agréée, régie par la loi de 1901.

Année 2024

Nom : Prénom :

Adresse :

Téléphone :

e-mail :

ci-joint chèque de 20 € (ou plus) à l’ordre de l’ARQAM à adresser  à l’adresse suivante:

Association pour la renaissance du quartier Arts et Métiers

3 rue Sainte Apolline 75003 PARIS

ou virement sur compte CCP : IBAN : FR6420041000016819101X02031
BIC  : PSSTFRPPPAR
Titulaire : Association pour la Renaissance du Quartier Arts et Métiers

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