Seattle se meurt (Seattle is dying)

Pour celles et ceux qui ne comprennent pas l’anglais :

9 minutes de traversée silencieuse du centre de Seattle envahi de milliers de tentes de sans abris drogués.

Pour celles et ceux qui comprennent l’anglais :

Ce reportage d’une heure est très instructif

Partout au centre ville sur les terre pleins et les places arborées des milliers de tentes et de déchets de toutes sortes

Les politiques de la mairie s’occupent des sans abris (homeless) et dépensent beaucoup d’argent (1 milliard de dollars pour le grand Seattle) pour subvenir à leurs besoins et leur nombre augmente sans cesse.

En fait il n’y a plus d’amendes quand on pisse, on chie, on se masturbe en public, on peut avoir sur soi jusqu’à 3 grammes d’héroîne et ne pas être inquiété par la police (= 30 doses à s’injecter!)

Les policiers sont complétement découragés : les arrestations ne débouchent qu’à 18% sur des peines de prison (la justice est atone). Même les petits dealers récidivistes sont relachés au bout de 24 heures.

Pratiquement tous les délinquants répertoriés sont sans abri et drogués à 100% à l’héroîne, au crack, aux amphétamines.

Venir à Seattle pour cette population qui a laché prise est synonyme d’avoir tout gratuit : la nourriture, les médicaments, les tentes pour dormir, la liberté de faire tout ce qu’on veut sans être arrété ni inquiété, etc…

Par contre la drogue présente partout, doit être payée et le nombre de vols avec violence est très élevé. Seulement San Francisco a plus de cas que Seattle au niveau national (NYC est devenu par comparaison le bon élève).

Les gens normaux à Seattle n’en peuvent plus de voir ces drogués se détruire à petit feu tout en détruisant leur environnement (saleté, déchets partout, etc…). Ils considèrent qu’ils doivent être soignés au lieu d’être laissés à eux-mêmes comme nous le préconisons à Paris.

En fin de ce reportage d’une heure, est montrée l’expérimentation de Providence à Rhode Island avec une mise en prison des drogués, trois produits de substitution leur sont proposés, ils en choisissent un qui leur sera administré tout le restant de leur vie. S’ils récupèrent leur santé mentale, ils sont autorisés à sortir avec bracelet électronique et contrôle constant de l’association qui les suit en permanence (avec 95% de réussite)

Pour celles et ceux qui ne comprennent pas l’anglais :

9 minutes de traversée silencieuse du centre de Seattle envahi de milliers de tentes de sans abris drogués.

Pour celles et ceux qui comprennent l’anglais :

Ce reportage d’une heure est très instructif

Partout au centre ville sur les terre pleins et les places arborées des milliers de tentes et de déchets de toutes sortes

Les politiques de la mairie s’occupent des sans abris (homeless) et dépensent beaucoup d’argent (1 milliard de dollars pour le grand Seattle) pour subvenir à leurs besoins et leur nombre augmente sans cesse.

En fait il n’y a plus d’amendes quand on pisse, on chie, on se masturbe en public, on peut avoir sur soi jusqu’à 3 grammes d’héroîne et ne pas être inquiété par la police (= 30 doses à s’injecter!)

Les policiers sont complétement découragés : les arrestations ne débouchent qu’à 18% sur des peines de prison (la justice est atone). Même les petits dealers récidivistes sont relachés au bout de 24 heures.

Pratiquement tous les délinquants répertoriés sont sans abri et drogués à 100% à l’héroîne, au crack, aux amphétamines.

Venir à Seattle pour cette population qui a laché prise est synonyme d’avoir tout gratuit : la nourriture, les médicaments, les tentes pour dormir, la liberté de faire tout ce qu’on veut sans être arrété ni inquiété, etc…

Par contre la drogue présente partout, doit être payée et le nombre de vols avec violence est très élevé. Seulement San Francisco a plus de cas que Seattle au niveau national (NYC est devenu par comparaison le bon élève).

Les gens normaux à Seattle n’en peuvent plus de voir ces drogués se détruire à petit feu tout en détruisant leur environnement (saleté, déchets partout, etc…). Ils considèrent qu’ils doivent être soignés au lieu d’être laissés à eux-mêmes comme nous le préconisons à Paris.

En fin de ce reportage d’une heure, est montrée l’expérimentation de Providence à Rhode Island avec une mise en prison des drogués, trois produits de substitution leur sont proposés, ils en choisissent un qui leur sera administré tout le restant de leur vie. S’ils récupèrent leur santé mentale, ils sont autorisés à sortir avec bracelet électronique et contrôle constant de l’association qui les suit en permanence (avec 95% de réussite)